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Exhibitions

Biographie

Venu à la photographie par la peinture, la photographe malgache Viviane Rakotoarivony expose ses premières photos en duo, sous le nom de Décliq, qu’elle a fondée en 2011.

Elle est d’ailleurs la première photographe à exposer à l’Is’art galerie en 2011 avec « Tano-Ora » (tenir le temps), un travail qui évoque la force de la jeunesse et  sa sexualité.

Par la suite, elle se tourne vers une carrière individuelle qui correspond plus à sa sensibilité.

Elle réalise une première œuvre en solo intitulée « Abattoir » (2011 – galerie no comment), sur l’abattage des zébus dans les abattoirs d’Antananarivo.

En 2013, elle expose sur sa vision de Madagascar avec 5 autres photographes dans « Regards Pluriels » (Institut français de Madagascar)

La même année, son travail  sur le nu, « Nude » est exposé au Kenya (Nairobi – 2011 – galerie privée)

En 2014, elle participe à l’exposition « Madagascar » (Paris – juillet 2014 – Aftersquat) en France.

 

Le quotidien des Malgaches l’inspire, les coutumes en font partie. Dans« Famadihana » (2017-2018), un de ces derniers projets, elle propose une chronique du retournement des morts sur les Hautes terres de l’Imerina. Elle travaille toujours sur le sujet actuellement.

 

En 2017, elle commence à travailler sur un projet qui la touche plus personnellement en tant que femme et mère ; le cas des enfants malades à l’hôpital qui n’ont pour seul soutien et moyen de subsistance que leurs mères. Ce projet est multiforme et devrait donner naissance à un livre ainsi qu’à un  film.

 

Avec l’exposition « Des mouvements dans la lumière » (Antananarivo – avril2019 – Isar’t galerie), elle retrouve la danse, un de ses premiers thèmes, initié près de dix ans plus tôt avec le danseur Junior Zafialison.

Cependant, si Viviane Rakotoarivony privilégie le reportage, elle aime le mélange des genres et des arts sous toutes ses formes. Sa participation à la résidence « Regards croisés » à Diégo Suarez (février 2019), avec une dizaine d’artistes venus d’Europe et de l’Océan Indien, en témoigne. En duo avec le caricaturiste allemand David Hardy (Suisse Marocain), elle fait le portrait des habitants d’un quartier de Diego. Ensemble, ils montrent un autre visage de la ville et de ses habitants et font descendre l’art dans la rue.

En 2020, son projet photographique "Taninjanaka" a été sélectionné par le Fond de dotation HY.

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